
Au kilomètre cent quatre-vingt-quatre, plus d’un an et demi après, les trains ralentissaient, avançaient comme à tâtons.
…
Les ouvriers apportaient les poteaux.
La maison de Matriona – Soljenitsyne
PREMIÈRES ET DERNIÈRES PHRASES DE LIVRES
Au kilomètre cent quatre-vingt-quatre, plus d’un an et demi après, les trains ralentissaient, avançaient comme à tâtons.
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Les ouvriers apportaient les poteaux.
La maison de Matriona – Soljenitsyne
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