
Je suis né dans un monde qui regardait en arrière.
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Parmi les choses et les hommes, avec tendresse et ironie, je suis, j’essaye d’être, sous les rafales du vent de l’histoire, le guetteur du plaisir de Dieu.
Au plaisir de Dieu – Jean d’Ormesson
PREMIÈRES ET DERNIÈRES PHRASES DE LIVRES
Je suis né dans un monde qui regardait en arrière.
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Parmi les choses et les hommes, avec tendresse et ironie, je suis, j’essaye d’être, sous les rafales du vent de l’histoire, le guetteur du plaisir de Dieu.
Au plaisir de Dieu – Jean d’Ormesson
Mon brusque départ a dû vous surprendre.
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Mais nos destinées et nos volontés jouent presque toujours à contretemps.
Climats – André Maurois
Il était une fois un vieil homme, tout seul dans son bateau, qui pêchait au milieu du Gulf-Stream.
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Le vieux rêvait de lions.
Le vieil homme et la mer – Ernest Hemingway
(L’Alpha & l’Omega – Première et dernière phrase d’un livre)
Ceux qui pensaient que cette guerre finirait bientôt étaient tous morts depuis longtemps.
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Cette pensée va, plus généralement, aux morts, de toutes nationalités, de la guerre 14-18.
Au revoir là-haut – Pierre Lemaitre
(L’Alpha & l’Omega – Première et dernière phrase d’un livre)
On le sait tous, la résilience est la capacité d’un matériau à résister aux chocs et dégager de l’énergie afin de retrouver sa forme première.
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C’est une réussite si on se relève autant de fois qu’on chute, c’est la qualité d’un homme, un vrai – et bien sûr, la qualité d’une femme, une vraie.
Les chemins de la résilience – Dorothée Leurent
(L’Alpha & l’Omega – Première et dernière phrase d’un livre)
Tout ça, c’était à cause du Mur de Berlin.
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Ce n’est pas Pandore qui vous dira le contraire.
Le secret du mari – Liane Moriarty
Puis-je, monsieur, vous proposer mes services, sans risquer d’être opportun ?
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Mais rassurons-nous ! Il est trop tard, maintenant, il sera toujours trop tard. Heureusement !
Siddhartha, le bel enfant du brahmane, le jeune faucon, grandit en compagnie de son ami, Govinda, fils lui aussi d’un brahmane, à l’ombre de la maison et du figuier, sur la rive ensoleillée du fleuve, auprès des bateaux, dans la verdure de la forêt de Sal.
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Il se prosterna jusqu’à terre devant l’Homme qui restait là, assis, immobile, et dont le sourire lui rappelait tout ce qu’il avait aimé dans sa vie et tout ce qu’il représentait pour lui de précieux et de sacré.
Comme souvent à Biarritz, il pleut.
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Ce voyage ne serait donc que le début d’un long processus de transformation…
Dans les pas du fils – Renaud et Tom François
Ned Willard arriva à Kingsbridge, sa ville natale, en pleine tempête de neige.
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Sur cette pensée, il glissa doucement dans le sommeil.
Une colonne de feu – Ken Follett
A l’arrêt suivant, Julius Kern sauta à bas du Dodge, et repartit, bringuebalant au long du chemin blanc creusé d’ornières roussâtres.
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Il la prononça à voix haute, avec amertume : « Naître est un accident mortel… »
Coup Double – Hélène Pasquier
Du 23e étage de l’hôtel Sofitel de Silom road, on avait une vue magnifique sur Bangkok.
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Malko croisa le regard de Ling Sima et ce qu’il y lut ne lui fit pas regretter d’être venu traquer Viktor Bout à Bangkok.
Gérard de Villiers – Le piège de Bangkok
Pour penser à Noël, il suffit a priori de fermer les yeux en plein jour pour se retrouver dans une nuit de lumière.
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Quitte à passer Noël en affrontant la nuit et les siens, autant survivre en jouant cartes sur table et en affirmant un gai savoir qui permettre de détourner le regard.
Survivre à noël – Stéphane Floccari
– Arrête-toi là ! ordonna Momcilo Pantelic à sa copine Natalia, à qui il avait laissé le volant de son coupé Mercedes SLK.
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La jeune femme sortit à son tour, se pressa fugitivement contre lui, effleura ses lèvres et dit d’une voix un peu étranglée : Stretan put (Bon voyage)
Gérard de Villiers – Pacte avec le diable
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